• - - Pierre-Yves et Eleonor devant l’entrée de l’Hacienda.
    1/7 - Pierre-Yves et Eleonor devant l’entrée de l’Hacienda.
  • - - Cacaoyer en production.
    2/7 - Cacaoyer en production.
  • - - L'Hacienda Eleonor.
    3/7 - L'Hacienda Eleonor.
  • - - Christian récoltant les Cacaos.
    4/7 - Christian récoltant les Cacaos.
  • - - Le Lac de l’Hacienda Eleonor.
    5/7 - Le Lac de l’Hacienda Eleonor.
  • - - Station de fermentation et de séchage.
    6/7 - Station de fermentation et de séchage.
  • - - Les fèves, après une fermentation de 5 jours en caisse bois et un séchage à l’air libre, sont alors mises en sacs de jute.
    7/7 - Les fèves, après une fermentation de 5 jours en caisse bois et un séchage à l’air libre, sont alors mises en sacs de jute.

Le cacao, une passion familiale

Hacienda Eleonor c’est l’aventure d’un couple, Chantal et Pierre-Yves COMTE, amoureux de l’Equateur, passionnés de cacao, et qui ont donné à leur Hacienda, le prénom de leur première petite-fille, Eleonor.


L’EQUATEUR 
Perché sur la Cordillère des Andes, entre la forêt Amazonienne et le Pacifique, entouré de géants que sont la Colombie au Nord et le Pérou au Sud, l’Equateur est l’un des plus petits pays d’Amérique du Sud. Mais ce petit pays a reçu en partage toute la variété de paysages magnifiques qui inclut sommets enneigés, forêts tropicales, les plus hauts volcans, d’impétueuses rivières, l’incroyable richesse de sa biodiversité et la chaleur d’un peuple attachant et chaleureux, descendant des Incas et de ceux qui les ont précédés, laissant tant de traces de la richesse des civilisations précolombiennes.

Ici, sous l’Equateur, la lune apparait comme une barque horizontale, elle est un élément de la Pachamama, la Terre-Mère, la déesse nourricière dont ils vénèrent la permanence.

Ici, ce n’est pas la latitude (0°) qui détermine le climat mais l’altitude : des plages brûlantes de la côte en passant par les neiges éternelles des volcans de la Cordillère, jusqu’à l’immensité de la forêt humide amazonienne, tous les climats coexistent.

NOTRE LOGO 
A partir de 1492, avec la découverte de l’Amérique, c’est aussi l’arrivée des conquistadors en Amérique du Sud et celle des missions de Jésuites pour évangéliser les Indiens : c’est ce qui va engendrer le développement de l’art baroque colonial, qui allie à la somptuosité de l’art espagnol, la naïveté très émouvante de ces artisans, formés par les conquérants espagnols à l’art religieux.

Notre logo, pour L’Hacienda Eleonor, reprend les ailes de cet ange baroque colonial, dont la forme simplifiée comme un plastron, évoque le dynamisme qui nous anime, symbolisé par l’envol de l’ange !

La forêt amazonienne équatorienne est ce poumon de la terre qu’il faut absolument préserver. Nous y participons, à notre échelle, à travers les cent hectares de forêt primaire du domaine et les plantations de centaines de milliers d’arbres de la propriété.

LE CACAO
Si le mot « chocolat » est originaire du Mexique où les Aztèques l’avaient baptisé « chocolatl », le cacaoyer lui-même est originaire de la Haute Amazonie Equatorienne (1000 m d’altitude).

En effet, une équipe internationale, associant archéologues, anthropologues, biochimistes et généticiens, vient de mettre en évidence, pour la première fois, des traces archéologiques de fèves de cacao, datant de 5300 ans soit 3300 avant J.C), retrouvées dans des céramiques anciennes d’Amazonie Equatorienne. C’est la plus ancienne utilisation du cacao montrée à ce jour. Elle précède de 1500 ans la diffusion du cacao par les Olmèques et les Mayas en Amérique Centrale.

C’est au Sud de l’Amazonie Equatorienne, sur le site archéologique de Santa Ana-La Florida (SALF), situé à Palanda, et mis à jour il y a 16 ans par l’archéologue Francisco Valdez et son équipe franco-équatorienne (IRD/INPC), que ces preuves ont été mises en évidence.

Les « Mayo Chinchipe », qui constituent la plus ancienne civilisation amérindienne de la haute Amazonie connue à ce jour, y ont consommé le cacao de façon continue, depuis cette époque. Des restes de maisons et un site cérémoniel y subsistent. (Sources Cirad). Ce résultat vient d’être publié sur le site de la revue américaine « Nature Ecology & Evolution ».

Le cacaoyer, cet arbre endémique des forêts équatoriennes, sur le versant amazonien, les indiens l’ont découvert, il y a plus de 5000 ans et l’ont peu à peu acclimaté, cultivé et propagé à travers le pays et au-delà. C’est au Mexique que les Conquistadors l’ont découvert à leur tour et le firent connaître et adopter à la cour du roi d’Espagne, puis celle de Louis XIII, par son mariage avec l’infante d’Espagne, Anne d’Autriche.

C’est par son passage à travers toutes les cours d’Europe et en particulier celle de Versailles, que le cacao est devenu la boisson à la mode dont toute l’aristocratie s’est emparée.

Le cacao, qui venait de la Haute Amazonie, descendait vers la côte par le fleuve Guayas et fût baptisé Cacao de Arriba (de là-haut), Fino de Aroma ou Cacao Nacional. C’est le cacao, d’origine la plus ancienne, qui ait été dégusté par les hommes.

Au début du XXème siècle, l’Equateur était le premier producteur au monde de cacao de cette variété « Fino de Aroma ».

Mais les maladies, les crises économiques, la concurrence de pays d’Afrique, ont entrainé le déclin de cette production et les agriculteurs se sont tournés vers un hybride plus productif et moins sensible aux maladies de la plante : le CCN 51.

Pierre-Yves Comte a fait le choix rigoureux de ne planter que le cacao d’origine, c’est-à-dire le « Cacao nacional, Fino de Aroma » sur L’Hacienda Eleonor, province d’Esmeraldas.

L’HACIENDA ELEONOR 
Pierre-Yves COMTE, arboriculteur dans la Vallée du Rhône depuis quarante ans, s’est pris de passion dès 1990 pour l’Equateur et pour le cacao, qu’il a longuement étudié avant de franchir le pas et d’investir, avec son épouse Chantal, dans une propriété en 2015, dans la région d’Esmeraldas, terre de prédilection du cacao.

En effet, le terroir d’Esmeraldas est reconnu comme particulièrement favorable à la culture du cacao, ce qui est confirmé par le chroniqueur gastronomique de la revue anglaise « The Economist », comme étant le lieu de production du « Meilleur cacao du monde ».

Dans un paysage sauvage exceptionnel, « L’Hacienda Eleonor » couvre 350 hectares d’anciens pâturages et de forêt primaire que, Chantal et Pierre-Yves Comte, les propriétaires, ont conservés, dans le plus grand respect de la biodiversité.

Les anciens pâturages ont été plantés en cacao et les versants des collines en teck, et d’autres essences de bois précieux (acajou, bois de rose, seibu, etc...).

La propriété offre le grand avantage d’avoir un lac naturel de 34 hectares accueillant de nombreuses espèces d’oiseaux qui contribuent à la biodiversité du domaine.

Elle est certifiée en culture biologique depuis 2019, par l’organisme certificateur allemand KIWA BCS.

Le personnel est logé sur place dans des maisons individuelles, avec leur famille, et aucun enfant n’est employé dans l’Hacienda.

L’Hacienda Eleonor travaille en collaboration étroite avec des experts du Cirad (Montpellier) et le Docteur Philippe Bastide (PhD en Biologie) qui l’accompagne de ses conseils.

Les cabosses de cacao sont récoltées à la main, à maturité et directement portées dans notre station de fermentation et de séchage, située sur la propriété même, ce qui est un gage de fraîcheur et de qualité.

Les fèves, après une fermentation de 5 jours en caisse bois et un séchage à l’air libre, sont alors mises en sacs de jute pour être vendues.

Chantal Comte, elle aussi, s’est passionnée pour cette nouvelle activité, à laquelle elle apporte son talent de dégustateur, exercé depuis longtemps à travers trente-cinq années d’expérience dans le vin (elle a été la vigneronne du Château de la Tuilerie) et depuis la même époque, elle exerce son métier de sélectionneuse de rhums rares des Antilles, dans son Atelier du Rhum, à Nîmes.



DÉCOUVREZ L'ARTISAN CHOCOLATIER ÉRIC COMTE




Eko Kakao


Chantal Comte



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